Créer un site internet

Blog

Pensez aux SCPI fiscales 2019

Le 01/10/2019

 
 

Nous souhaitons aujourd’hui vous informer que nous avons référencé l’intégralité des SCPI d’immobilier résidentiel dites « SCPI fiscales » de manière à maîtriser l’ensemble du marché et à continuer à vous apporter un conseil objectif.

En effet, notre offre en SCPI fiscales est composée de 9 SCPI gérées par 5 sociétés de gestion.

Vous avez la possibilité grâce à ces véhicules de vous constituer un patrimoine immobilier à long terme tout en bénéficiant d’avantages fiscaux que l’État accorde pour encourager l’investissement immobilier à usage locatif.

Ces SCPI peuvent être souscrites sous trois dispositifs : deux dispositifs de réduction d’impôts « Pinel » et « Malraux » et un dispositif de déduction d’impôts « le Déficit Foncier ».

1 - PINEL

Le dispositif Pinel permet une réduction d’impôt de 18 % sur 9 années ou de 21 % sur 12 années à raison de 2 % par an les 9 premières années et 1 % de la 10ème à la 12ème année.

Le plafond de souscription est fixé à 300.000 € pour une réduction d’impôt maximum de 54.000 € sur 9 ans et 63.000 € sur 12 ans.

Sur les quatre SCPI disponibles sous ce dispositif, trois d’entre elles ont opté pour une stratégie d’investissement dans des immeubles neufs axée sur les grandes métropoles à fort potentiel économique et démographique, en privilégiant l’Ile-de-France.

Tandis qu'une investira majoritairement dans des immeubles anciens de centre-ville à rénover.

Contrairement à un investissement immobilier en direct, la SCPI permet une diversification sur plusieurs immeubles, sans avoir les contraintes de recherche de locataires & de gestion locative tout en permettant une réduction immédiate (pas besoin d’attendre la date de livraison).

 
 
 
 
 

2 - MALRAUX

Il s’agit du plus ancien dispositif fiscal ayant vu le jour en 1962 pour permettre la restauration complète des immeubles en centre-ville.

La réduction d’impôt est de 30 % du montant des travaux réalisés avec un plafond à 400.000 € pour une période de quatre années consécutives.

Pour rappel, la réduction d’impôt liée à un investissement Malraux ne rentre pas dans le champs d’application du plafonnement des niches fiscales.

Nous proposons cette année deux SCPI Malraux.

Tous comme les SCPI Pinel, la réduction d’impôt est applicable sur l’année de l’investissement.

 
 
 
 
 

3 - DÉFICIT FONCIER

La SCPI déficit foncier (régime commun) permet de déduire le montant des travaux/réparations des revenus fonciers sans limite et du revenu global dans une limite de 10 700 euros par an pendant les années de réalisation de travaux. La part excédentaire est quant à elle reportable sur 10 ans.

De fait, ces SCPI ont vocation à investir sur des biens à rénover ou à réhabiliter. La SCPI déficit foncier s’adresse plus particulièrement à des contribuables qui se situent dans les tranches d’imposition hautes (30 ; 41 ou 45%) et qui perçoivent par ailleurs, des revenus fonciers.

Ainsi, un investisseur situé dans une TMI (tranche marginale d’imposition) à 41 % peut bénéficier d’un gain fiscal de 58.2 % du montant des travaux réalisés.

Cette année, notre offre est composée de trois SCPI de déficit foncier.

 
   

Bien gérer l'après-défiscalisation

Le 23/09/2019

Les obligations de location de biens immobiliers défiscalisant type Scellier arrivent à terme. Puis ce sera au tour des logements Pinel, etc. Du coup, les investisseurs ont le choix de vendre, reprendre ou continuer à louer. Avantages et inconvénients de chaque issue.

Ce n'est qu'une fois qu'il est liquidé, que l'on sait si on a fait un « bon » placement. C'est particulièrement vrai si une carotte fiscale a motivé l'investissement.

Lorsqu'un particulier investit dans le cadre d'un régime de défiscalisation, il doit absolument penser à la manière dont il va gérer "l'après-avantage fiscal" avant même de concrétiser son achat.

Votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE vous y aidera.

Car, si les solutions qui s'offrent aux propriétaires diffèrent peu en apparence de celle d'un investissement locatif « classique » (vente, poursuite de la location ou reprise pour habiter), leurs mises en place et surtout leurs conséquences financières doivent être anticipées. Il ne faut surtout pas réfléchir uniquement en termes de réduction d'impôt. Au contraire, il est essentiel de se projeter au moment où l'avantage fiscal obtenu en contrepartie de l'engagement de location disparaît.

Sortir d'un produit de défiscalisation (Scellier, Pinel...) peut en effet se révéler un peu plus compliqué du fait des paramètres supplémentaires à prendre en compte comme les loyers plafonds devant être respectés dans le cadre de ces régimes et qui s'avèrent difficiles à relever une fois la durée d'engagement de location expirée. Il faut aussi tenir compte de l'éventuelle saturation du marché local en cas de revente massive de ce type de logements à l'issue des périodes de réduction d'impôt pour les investisseurs. C'est-à-dire au bout de 9 ans de location, le plus souvent, dans le cadre du régime Scellier, ou 6 ans minimum pour le Pinel. Conséquence : de nombreux logements Scellier commercialisés en 2009, 2010, se retrouvent aujourd'hui sur le marché.

Revendre le logement loué ou pas

Peu importe que vous ayez donné ou non congé à votre locataire au terme de votre durée d'engagement de location, vous êtes libre de vendre votre logement, et cela au prix que vous souhaitez fixer. Avec, néanmoins, en règle générale, une décote de l'ordre de 10 à 30 % en moyenne si vous choisissez de céder votre bien avec son occupant locataire toujours en place.

C'est là que peuvent surgir les mauvaises surprises... Qu'ils soient vendus libres ou occupés, il n'est pas rare de voir des biens situés dans des copropriétés relevant initialement d'un programme de défiscalisation cédés à terme à des prix décorrélés du marché. Car, ce type de produits ayant pour la plupart été acheté dans un intervalle de quelques mois, leurs propriétaires perdent le bénéfice de l'avantage fiscal quasi-simultanément. D'où souvent une vague de mise en ventes qui perturbe le niveau habituel d'offre et de demande entraînant de fait une baisse des prix pour réussir à trouver preneur assez vite.

Pour éviter des déceptions, mieux vaut donc se pencher avec attention sur les conditions du marché immobilier local et s'assurer que le moment de mise en vente est bien opportun. Concrètement, renseignez-vous sur l'évolution des prix au mètre carré au cours des mois précédents, comme de l'importance de la demande et du stock de produits actuellement à la vente. Ces appartements ne sont certes pas invendables mais, il peut parfois s'avérer plus judicieux d'attendre un peu avant de les proposer sur le marché. Quitte, dans le cadre d'un investissement en Pinel, à prolonger son engagement de location initial de trois ans supplémentaires.

Reprendre le bien pour soi ou un membre de sa famille

Une fois terminé l'engagement de location prévu dans le cadre du régime de défiscalisation, rien ne vous empêche de récupérer le logement afin d'en faire votre résidence principale ou d'y loger un proche dans les mêmes conditions. Mais attention... la loi est stricte sur ce point : le membre de votre famille en question ne peut être que : votre époux (se), votre partenaire de Pacs ou votre concubin(e) depuis plus d'un an, ou encore (cas plus fréquent) un de vos ascendants : parent, grand-parent... ou un de vos descendants (ou ceux de votre conjoint) : enfant, petit-enfant. En d'autres termes, vous ne pouvez pas demander à votre locataire de quitter les lieux si vous aspirez à y loger votre neveu ou votre petite-cousine.

Autre difficulté : pour obtenir le départ de l'occupant des lieux, vous êtes tenu à un certain formalisme. À commencer par attendre l'échéance du bail de votre locataire. Mais pas seulement... Vous devez aussi lui notifier son congé au plus tard six mois avant la fin de son contrat de location. Et ce, par lettre recommandée avec accusé de réception ou remise en main propre contre signature. Prenez soin aussi de bien adresser ce courrier à chacun des cotitulaires du bail ou à chacun des époux (ou partenaires de Pacs).

Quant au contenu de ce courrier, vous devrez notifier :

- le motif du congé,

-les nom et adresse du ou des personnes destinées à s'installer dans le logement que vous souhaitez récupérer ainsi que votre lien de parenté avec eux si le bail a été signé depuis le 27 mars 2014.

De même, vous devez obligatoirement joindre à votre lettre la notice d'informations relative aux obligations du bailleur et aux voies de recours et d'indemnisation du locataire (arrêté du 13 décembre 2017). À défaut de l'ensemble de ces informations, votre demande de congé n'est pas valable et le bail est alors reconduit pour la même durée.

Attention, si vous mentez sur vos réelles intentions quant à l'avenir de votre logement, les sanctions peuvent s'avérer lourdes ! Si, une fois après avoir quitté les lieux, votre ancien locataire apporte la preuve que vous n'avez pas repris votre appartement pour y vivre, ou uniquement à titre de résidence secondaire, ou encore que la personne que vous aviez nommée dans votre notification de congé comme devant s'y installer n'y loge pas, il peut alors vous attaquer en justice afin d'obtenir des dommages et intérêts pour le préjudice subi. Pire, en cas de motifs mensongers, vous vous exposez à une amende pénale de 6 000 € maximum.

Continuer à louer... au même prix

Si vous n'êtes pas pressé de revendre votre logement et n'avez pas non plus besoin de le récupérer pour vous y loger ou y installer un membre de votre famille, la solution la plus simple reste alors de laisser le locataire en place. Vous continuez ainsi à percevoir le loyer dans les mêmes conditions qu'auparavant mais en ne bénéficiant plus de la réduction d'impôt au titre de votre investissement.

Certes avantageuse d'un point de vue « paperasse » (pas de congé à donner ni de transaction hasardeuse, pas de nouveau bail à signer...), cette option n'est pas forcément la plus intéressante financièrement parlant. Motif ? Dès lors que votre bien se trouve dans une commune de zone dite « tendue » (voir le simulateur « savoir si un logement est situé en zone tendue » sur le site www.servicepublic.fr), vous ne pouvez pas augmenter librement le montant du loyer entre deux locataires. En effet, sauf si le départ du dernier occupant des lieux date de plus de dix-huit mois ou si vous avez effectué depuis moins de six mois dans le logement des travaux d'amélioration d'un montant au moins égal à la dernière année de loyer (voir p.16), la somme que vous pouvez demander à votre nouveau locataire ne peut excéder celle payée par le précédent (augmentée de la révision annuelle du loyer sur la base de l'IRL).

Or, dans le cadre de votre investissement défiscalisant, l'une de vos obligations initiales pour prétendre à l'avantage fiscal était de respecter un montant plafond de loyer mensuel par m². Lequel est généralement inférieur aux prix « normaux » du marché. Cet ancien loyer, de fait, continue de s'appliquer à votre nouveau locataire ! Vous risquez ainsi de voir s'accroître au fil des ans l'écart entre ce que vous allez encaisser pour votre logement et ce que vous pourriez percevoir si vous n'aviez pas, au départ, loué via un régime de défiscalisation. De quoi grignoter la réduction d'impôt obtenue initialement...

L'astuce : passer au meublé

Pour éviter un tel écueil, rien de mieux que de louer en changeant les règles au moment du départ volontaire du locataire. Autrement dit, vous devez basculer le logement d'une location nue à une location meublée ou saisonnière. Cela permet non seulement de s'affranchir des plafonds de loyers mais aussi d'optimiser la fiscalité en amortissant le bien, c'est-à-dire de déduire des loyers perçus toutes les charges liées à la location comme, par exemple, les charges de copropriété ou encore les intérêts d'emprunt. Et ce, au point parfois de réussir à réduire à néant la fiscalité et de compenser ainsi la perte de l'avantage fiscal liée à la sortie du régime de défiscalisation.

Les droits du locataire sortant : à ne pas négliger !

Attention si vous décidez de vendre votre logement vide de tout occupant ! Le locataire à qui vous donnez congé au plus tard six mois avant l'échéance de son bail bénéficie en effet d'un droit de préemption. Autrement dit, au cours des deux mois suivant l'envoi de votre courrier, il est prioritaire pour acheter votre bien au prix que vous lui aurez vous-même indiqué dans votre lettre de congé. S'il ne donne pas suite, vous pourrez alors le vendre à qui vous le voulez. Sauf que... dès lors que vous êtes amené, faute d'acheteur, à baisser votre prix de vente, vous êtes tenu de le reproposer en priorité pendant un mois au locataire sortant. À défaut, celui-ci peut faire annuler la vente.

Pas d'obligation de relocation dans l'année précédant la fin du régime

Vous aviez l'intention de vendre votre logement vide au terme de votre durée d'engagement de location et votre locataire vient de quitter les lieux moins d'un an avant cette date ? Bonne nouvelle : même si vous ne relouez pas votre bien, vous ne perdez pas pour autant votre avantage fiscal. En effet, si le non-respect de la durée d'engagement de location entraîne normalement la reprise de cette réduction d'impôt, l'administration fiscale accepte que vous ne signiez pas de nouveau bail (lequel vous engagerez pour trois ans). Trois conditions à remplir : votre logement doit être en état d'être loué, vous ne devez pas l'occuper ni ne le prêter (même provisoirement), vous devez attendre l'expiration de l'engagement de location pour le vendre.

Investissement locatif pour les jeunes, plus facile qu’une résidence principale ?

Le 20/09/2019

Immobilier jeune avenir serenite patrimoine l immobilier neuf a prix direct promoteur le conseil patrimonial en plus
 
Entre l’achat d’une résidence principale et celui d’un bien immobilier pour le mettre en location, certains acquéreurs, notamment les plus jeunes, optent aujourd’hui pour la seconde solution, jugée plus adaptée à leur situation. Retour sur leurs motivations.

Quelle est la part de l’investissement locatif en France ?

Pendant longtemps, l’achat d’une résidence principale a représenté le rêve de nombreux Français, encouragés par les générations précédentes, pour qui posséder « son propre toit » était important. Si ça l’est toujours, les particuliers voient également dans l’investissement locatif une solution alternative pour se constituer un patrimoine immobilier. 

Ainsi, selon une étude du Crédit Foncier (1), la part du locatif était estimée à 15,5 % des logements construits en 2018, contre 13,4 % en 2013. Il ressort de la même étude que 32 % des investisseurs particuliers ont moins de 40 ans et que 11 % d’entre-eux sont locataires de leur résidence principale. 

En quoi l’investissement locatif est-il adapté aux jeunes ?

L’investissement locatif peut davantage correspondre à la situation des jeunes ménages ou célibataires, qui démarrent dans le monde du travail et sont amenés à faire preuve de mobilité. En effet, l’acquisition d’une résidence principale suppose d’être installé sur le plan professionnel, mais aussi d’avoir un foyer stable et de pouvoir s’endetter sur de longues années. Rien de tout cela dans l’investissement locatif, qui permet d’être propriétaire d’un bien immobilier tout en en réduisant ses impôts, grâce notamment au dispositif Pinel, entré en vigueur en 2014.

Le dispositif Pinel permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu en louant un logement neuf. Le montant de l’avantage fiscal se révèle intéressant, puisqu’il atteint 21 % du prix du bien pour une durée de location de 12 ans, 18 % pour 9 ans et 12 % pour 6 ans.

Comment se constituer un patrimoine sans effort financier important ?

Les jeunes apprécient particulièrement le dispositif Pinel puisque cela leur permet de se constituer un patrimoine largement financé… par les autres. Pour une location de 12 ans, 21% sont payés par l’Etat sous forme d’économie d’impôts. Selon la localisation du bien, entre 45 et 60% sont payés par les loyers encaissés et le reste est à la charge de l’investisseur. Le calcul est vite fait.

En fonction du budget qu'il est psosible d'y consacrer, il peut être fait un investissement en direct ou via des SCPI, accessibles dès 1 000 €.

​​​​​​​L’investissement locatif apporte-t-il satisfaction ?

À l’arrivée, l’investissement locatif fait l’unanimité auprès des investisseurs. D’après l’étude du Crédit Foncier précitée, ils sont 93 % à se déclarer satisfaits. Des chiffres qui font rêver, pourquoi pas… d’investissement locatif. Pour vous permettre d’y voir clair dans vos projets, votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE apportera des réponses à toutes vos questions.

Comment réduire vos impôts avant fin 2019 ?

Le 11/09/2019

Investir dans l'immobilier locatif permet, grâce à des mesures fiscales attractives, de réaliser des économies d'impôts.

Le dispositif Pinel, la location Meublée non-professionnelle (LMNP), le dispositif Malraux, le Déficit Foncier et le dispositif Denormandie sont les principaux dispositifs en vigueur jusqu’à fin 2019.

Le dispositif Pinel

Dans le cadre du dispositif Pinel, vous bénéficiez d’une réduction d’impôt si vous achetez un logement neuf que vous mettez en location pendant 6 ans, 9 ans ou 12 ans. Le logement doit être acquis en passant par un promoteur ou un constructeur (il peut également être acquis en VEFA -vente en l’état futur d’achèvement -).

Il peut s’agir également d’un logement ancien qui fait l’objet de travaux pour être transformé en logement neuf. La réduction d’impôt est de 12% pour une location de 6 ans ; 18% pour une location de 9 ans ; et 21% pour une location de 12 ans.

>> Tout savoir sur le dispositif Pinel

La Location Meublée non-professionnelle (LMNP)

La location meublée non-professionnelle correspond à la mise à disposition d’un bien meublé par un particulier. Le locataire doit pouvoir y résider en n’ayant que ses affaires personnelles à apporter. Les avantages fiscaux sont :

  • déduction de l’intégralité des charges (intérêts d’emprunt, impôts, …) des recettes ;
  • possibilité d’amortissement de la valeur d’acquisition de l’immeuble et du mobilier ;
  • déficit imputable seulement sur les BIC non-professionnels tirés de la même activité, réalisés la même année ou reportable sur les 10 années suivantes.

>> Tout savoir sur la Location en Meublé non professionnel (LMNP)

Le dispositif Malraux

La loi Malraux, née en 1962, permet aux contribuables de réaliser des investissements immobiliers, dans des quartiers historiques.

Les investisseurs peuvent bénéficier d’une réduction d’impôts, calculée à partir du montant total des travaux réalisés :

  • -30% (à hauteur de 120 000 €), dans le cas de travaux réalisés sur un immeuble situé sur un Site Patrimonial Remarquable (SPR), accompagné d’un plan de sauvegarde et de mise en valeur ;
  • -22% de réduction d’impôt (à hauteur de 88 000€), si les travaux concernent un immeuble situé sur un SPR, accompagné d’un Plan de Valorisation de l’Architecture et du Patrimoine approuvé.

>> Tout savoir sur le dispositif Malraux

Le dispositif Denormandie

Entré en vigueur le 1er janvier 2019, le dispositif Denormandie permet de bénéficier d'une réduction d'impôt sur le revenu pour l’achat d’un logement à rénover, dans un quartier ancien dégradé, pour le mettre en location. 245 communes sont aujourd’hui éligibles.

L’investissement est limité à 300 000 euros par an, et 5 500€ par mètre carré. Le budget consacré aux travaux doit représenter 25 % du total de l'opération.

Vous pouvez alors bénéficier d’une réduction d’impôt de 12% pour une location de 6 ans ; 18% pour une location de 9 ans ; et 21% pour une location de 12 ans.

>> Tout savoir sur le dispositif Denormandie

Le déficit foncier

La mise en œuvre de travaux déductibles permet de « faire disparaître » tout ou partie de vos revenus fonciers, et même de diminuer vos autres revenus imposables jusqu'à 10 700 euros, en plus des autres réductions d'impôts. Si le propriétaire dépasse ce plafond, le surplus est reportable, dans les mêmes limites annuelles, pendant 10 ans.

Ainsi, pour 100 000 euros de travaux sur un appartement, et déjà 10 000 euros de bénéfices fonciers, ces derniers seront gommés pendant 10 ans.

>> Tout savoir sur le déficit foncier

L'évolution des prix de l'immobilier

Le 03/09/2019

50 ans de prix du logement

Pendant les années soixante-dix, l’inflation a été violente, et la hausse des prix du logement a été forte. C’est de cette période que date l’image de l’immobilier « valeur refuge » : en euros constants (donc en ayant traduit les francs en euros, et retiré l’effet d’optique de l’inflation). Entre 1968 et 1978, la progression réelle des prix a été de 1,25% par an. Ceci s’explique surtout par l’augmentation très forte du nombre des ménages.

Puis est venu le changement politique de 1981, avec l’année suivante la création de l’impôt sur la fortune et le vote de la loi Quillot (qui modifia les rapports propriétaires / locataires). Conséquence : pour la première fois depuis trente ans, une baisse des prix et un ralentissement brutal de la construction. Conséquence de la conséquence : insuffisance d’offre, marché tendu, remontée des prix. Les années quatre-vingt ont fait le reste, avec abondance de crédit, confiance en l’immobilier, enthousiasme excessif. En 1988, les prix avaient finalement progressé de 3,72% par an en valeur réelle, depuis dix ans.

Trop peu, puis trop. Dès 1990, le marché a commencé à chavirer sous l’excès, en même temps que des taux d’intérêt meurtriers le paralysaient. Entre 1988 et 1998, baisse des prix de 20%.

Puis de nouveau la crise, mais dans l’autre sens. La période 1999 – 2006 a connu en effet une sorte de « rendez-vous » de quatre facteurs démographiques : entre l’allongement de la vie (moins de départs), les nouveaux ménages (natalité forte vingt ans avant), les divorces (deux logements pour une même famille) et un pic d’immigration (commun à tous les pays d’Europe), la pression de la demande a été plus forte que jamais, et l’offre n’a pas réussi à suivre au même rythme. Entre 1998 et 2008, les prix du logement à Paris ont progressé de 128%, soit une performance annuelle de 8,59% !

Excessif ? La crise brutale de 2008 aurait pu casser le marché. Mais la loi Scellier, concoctée en urgence pendant les fêtes de fin d’année, a évité l’accident, la paralysie de l’investissement logement. Puis les taux bas, la pression démographique, et toujours le décalage dans la réponse par la construction, ont fait le reste. Les prix ont progressé, de 2008 à 2018, de 3,06% par an en valeur réelle.

Entre 1968 et 2018, soit sur cinquante ans, le prix des logements à Paris ont été multipliés par un peu plus de quatre. Leur performance annuelle a été de 2,87 % en valeur réelle.

L’ANALYSE

Les prix du logement sont déterminés par la démographie, le rythme de construction, la solvabilité des ménages, les taux d’intérêt… et la volonté (ou la nécessité) d’habiter ici ou là.

Le logement est utile économiquement, mais il n’est pas créateur de richesse comme le sont les entreprises.

La hausse récente des prix du logement est assez parallèle à celle de l’endettement public : elle reflèterait la perte de confiance en la robustesse de l’État.

Ainsi, les prix du logement sont actuellement soutenus dans une certaine mesure par les interrogations sur la dette.

Le long terme c’est combien ?

Le long terme est parfois très long ! Les prix du logement n’ont fait que progresser au cours des cinquante dernières années, à l’exception de la parenthèse 1991 – 1997, crise immobilière de grande ampleur. En pratique, l’acheteur de 1991 a dû attendre 2002, soit onze ans, pour retrouver son prix d’achat, sans tenir compte des frais d’acquisition.

 Les performances passées peuvent être regardées de deux façons radicalement différentes :
  • Vues d’aujourd’hui, elles sont évidentes et logiques
  • À chaque moment où nous les avons vécues, nous n’imaginions pas la suite !

Quels que soient nos efforts d’intelligence, n’oublions pas qu’il y a sans cesse des surprises au coin de l’avenir.

Il y a des mauvaises surprises, mais il y en a aussi de bonnes ! Dans le monde des investissements, donc des prix, « à chaque instant il peut se passer quelque chose » : ne pas oublier l’équilibre d’un patrimoine !

Le palmarès des villes où investir, selon SeLoger.com

Le 02/09/2019

Le site de petites annonces immobilières, SeLoger.com, a publié son classement des dix villes les plus intéressantes pour les investisseurs, et, petite surprise, aucune n’est en Ile-de-France. 

 

Des rives de la Loire à celles de la Garonne, en passant par le Rhin, le palmarès 2019 des villes où investir, publié le 26 août par SeLoger.com propose un joli tour de France des grandes villes.

 

Toulouse arrive en première place avec un prix moyen au mètre carré de 3.382 euros, soit une augmentation de 6% en un an. Selon le site de petites annonces, la ville de 475.000 habitants possède un parc immobilier abordable et une forte attractivité économique et scientifique, grâce à l’aéronautique notamment, mais également démographique : plus de 5.000 nouveaux résidents par an. Les quartiers à privilégier sont l’hyper-centre, celui de la Croix de Pierre et le secteur Rangueil. Dans tous les cas, il est important de veiller à ce que le logement soit proche des transports en commun.

 

Toulouse arrive à la première place du classement SeLoger. | Crédits photo : SeLoger

Nantes et Lille sur le podium

En deuxième position arrive la capitale de la région Pays-de-la-Loire : Nantes, qui affiche encore une belle progression de 6,3% du prix du mètre carré sur un an. Il s’élève à présent à 3.475 euros.  « De plus en plus d’investisseurs nantais ciblent désormais les maisons », indique SeLoger qui constate une baisse du rendement des petites surfaces en raison de la hausse des prix. Pour ceux qui continuent toutefois à être attirés par des studios ou deux-pièces, le site conseille de privilégier l’hypercentre, le campus Michelet ou le quartier Hauts-Pavés-Saint-Félix pour s’adresser à des étudiants.

 

Le prix du mètre carré a augmenté de 6,3% par rapport à l'année dernière à Nantes. | Crédits photo : SeLoger

La troisième marche du podium revient à la cité lilloise (3.224 €/m2, soit +2,9% sur un an). La capitale des Flandres connaît une attractivité importante grâce à son pôle étudiant et sa proximité avec d’autres grandes villes européennes. Le quartier Vauban et les environs des gares représentent les zones parmi les plus intéressantes.

 

Le prix du mètre carré à Lille s'élève à 3.324 €.

Vient ensuite Lyon (4.817 €/m2, +5,6 % sur 1 an), « une valeur sûre qui ne se démode pas ». La capitale des Gaules demeurant l’une des villes de province les plus chères de France.

Elle est suivie de Rennes (3.490 €/m2, +9,5 % sur 1 an), puis d’Angers (2.288 €/m2, +7,1 % sur 1 an), Montpellier, Tours, Poitiers et enfin Strasbourg.

Retrouvez-nous au Salon de l’immobilier et de l’investissement du 11 au 13 octobre à Paris

Le 02/08/2019

 

 

 

 

Le Salon de l’immobilier s’enrichit et devient le Salon de l’immobilier et de l’investissement. Rendez-vous du 11 au 13 octobre prochain au Carrousel du Louvre. 

La prochaine édition du Salon de l’immobilier et de l’investissement, se tiendra au Carrousel du Louvre du 11 au 13 octobre prochain. Cette nouvelle version du Salon de l’immobilier s’enrichit d’un espace « investissement » qui permettra aux visiteurs de s’informer, outre la pierre, sur tous les placements : assurance-vie, retraite, transmission, Bourse, épargne… Le salon réunira une centaine d’exposants spécialistes de l’immobilier et du financement, dont votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE.

L’occasion pour les visiteurs de NOUS RENCONTRER et d’évoquer les solutions les mieux adaptées à leurs profils et objectifs.

Des consultations gratuites, très appréciées, sont également proposées avec des avocats, gestionnaires de patrimoine, architectes ou notaires, pour des conseils personnalisés. Une vingtaine de conférences animées par des experts rythmeront les trois jours afin de décrypter, analyser et commenter l’actualité de l’immobilier.

Pratique

Salon de l’immobilier et de l’investissement, au Carrousel du Louvre du 11 au 13 octobre.

Horaires : vendredi 11 de 10 heures à 20 heures, samedi 12 et dimanche 13 de 10 heures à 19 heures.

Informations sur salons-immobilier.com/paris

4 nouvelles villes éligibles à la loi PINEL

Le 10/07/2019

Par un Arrêté du 4 juillet 2019, 4 nouvelles villes deviennent éligibles à la loi PINEL. Il s’agit :

– Angers (49) ;

– Saint Gilles croix de vie (85) ;

– Poitiers (86)

– Semoy (45).

Votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE vous invite à la plus grande prudence concernant l'investissement dans ces communes. Si vous voulez investir sans "y laisser de plumes", prenez contact avec lui.

×